ASLS INFOS 64
A.S.L.S
Association des Skieurs de Luchon Superbagnères
INFOS NUMERO 64
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Encore un week-end avec assez peu de monde, que ce soit d’ailleurs à Superbagnères où à Peyragudes.
En effet, je suis allé samedi à Peyragudes pour une course de ski, ce qui m’a permis de faire un petit comparatif. Tout d’abord sur le bas de la station, il n’y a pas énormément de neige puisque le téléski complètement à gauche ne peut être ouvert et sur les deux débrayables qui sont en bas, un seul marchait en raison du peu de monde. A aucun moment, nous n’avons fait la queue pour remonter.
On vous donne un forfait avec un élastique qu’il faut mettre au passage dans une fente qui ne lit que d’un seul côté. Avec le froid et les gants, c’est vraiment beaucoup plus incommode que le système automatique que nous avons à Superbagnères.
En ce qui concerne le traitement des pistes, j’ai également trouvé qu’elles étaient beaucoup mieux damées à Superbagnères. A Peyragudes, cela ressemble très vite à une chevauchée fantastique, vous êtes en permanence secoués sur les skis.
Sinon les pistes sont beaucoup plus larges, bien que les risques de collision m’ont semblé très importants du fait toujours de skieurs qui skient en travers et non pas en descente.
A part cela, un froid très vif samedi – 19 à Peyragudes et une température à peu près analogue à Superbagnères avec un petit peu de vent, ce qui rajoutait à la fraîcheur beaucoup de cas d’onglet ont été signalés.
Par contre, soleil magnifique pour tout le week-end.
A noter qu’à Peyragudes, dès que les pistes sont ouvertes aux skieurs, les canons à neige s’arrêtent.
Dimanche, retour à Superbagnères. Là, les canons ont marchaient une bonne partie de la journée. Certes, cela peut paraître désagréable mais c’est une vraie nécessitée. Il a été fait d’énormes bosses de neige qui seront bien utiles pour le reste de la saison, bosses un peu dangereuses car parfois pas très bien signalées, ce qui a entraîné une chute mémorable d’un de nos vice-président Jean-Yves Lafaille grand spécialiste des bosses et de votre serviteur qui a eu droit le lundi au médecin, radio et kiné ,mais rien de grave. Tout cela pendant un cours du ski-club, cette fois-ci entraîné par Yannick BRU qui fut un excellent instructeur. Comme quoi, à Superbagnères, que ce soit les moniteurs de l’ESF ou les bénévoles du ski-club, nous avons le top qui permet d’avoir d’excellents résultats puisqu’à Peyragudes il y a eu quatre ou cinq podium pour des luchonnais.
Pour les adultes, nous n’en sommes pas encore là mais nous débutons, nous avons grand espoir de pouvoir nous améliorer grandement.
Un petit mot pour la RECORD pour vous dire qu’elle est toujours fermée à notre grand désespoir, mais il serait question que l’engin qui permet de remonter des blessés arrive vers le 1er ou le 2 février. Nous y comptons beaucoup pour pouvoir encore dévaler cette pente.
Dimanche, la neige était vraiment excellente. D’abord, il a neigé en fin de semaine, ce qui a amélioré beaucoup le site et la neige des canons très froide était très agréable à skier.
La météo annoncerait de la neige (aux environs de 25 cm), ce qui devrait nous permettre d’avoir un excellent week-end la semaine prochaine.
Je terminerai par une petite note gastronomique car enfin, nous avons pu manger notre fameux canard à l’orange de la HOUNT avec les meilleurs frites du monde, Marie-Hélène m’indiquant que l’année dernière, pour le même week-end, il y avait eu énormément de monde car HOUNT ESTRETE était ouverte alors que nous sommes loin de pouvoir l’ouvrir, vu le peu de neige sur cette piste qui mérite véritablement des canons à neige.
Sur ce, je vous souhaite à tous une bonne semaine, en vous rappelant de bien mentionner sur vos agendas notre course, notre assemblée générale et le cocktail qui suivra la remise des prix du 5 février. Vous avez reçu l’avis la semaine dernière, vous l’avez également sur le blog que je vous conseiller de visiter (933 visites dimanche soir pour le mois de janvier et au total 6.605 depuis la création du blog).
Encore merci de participer à la vie de notre association.
Robert RIVES
Le 25 janvier 2011