ASSOCIATION DES SKIEURS DE LUCHON SUPERBAGNERES

ASSOCIATION DES SKIEURS DE LUCHON SUPERBAGNERES

ASLS INFOS 132

A.S.L.S

 

Association des Skieurs de Luchon Superbagnères

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INFOS NUMERO 132

 

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Chers amis,

Nous avons enfin connu le premier beau week-end de la saison, soleil magnifique ,neige extraordinaire, toutes les pistes ouvertes, du grand ski, des conditions parfaites pour notre course de ski.

Le compte rendu de l'assemblée générale fera l'objet, d'un courrier spécifique, même si dans le présent courrier   j'aborderai notre journée du 22 février.

Beaucoup de nos membres étaient absents bien que nous ayons été nombreux à la Rotonde.

Après coup on peut toujours se demander si l'on a choisi la bonne date et s'il était judicieux d'organiser notre journée entre le festival du film et les vacances scolaires.

Néanmoins les week-ends précédents nous ont fait connaître des conditions climatiques surtout le samedi qui ne peuvent pas nous faire regretter le choix de la date .

La course s'est déroulée dans d'excellentes conditions avec une piste remarquablement préparée dans le bas de Fontaine par l'ESF, je remercie tout particulièrement les moniteurs et son directeur Michel Pradère.

Vous trouverez les résultats sur le blog que je vous invite à consulter car j'ai enfin  trouvé le moyen de mettre une photo de SUPERBAGNERES que j'avais prise sur les hauteurs de la BIGOURDAN. C'est un panorama assez atypique car il donne l'impression que nous ne skions que dans la forêt.

Néanmoins je puis vous indiquer que le premier homme est Pascal Saint GENIEST devant Alain PINET et pour les dames Carole DUPUY nouvelle  adhérente devant Dominique Saint GENIEST.

Assez peu de participants cette année 15 au lieu de 28 l'an passé, avec un droit d'inscription de cinq euros, nous nous sommes posé la question de pouvoir continuer à organiser cette course compte tenu du coût qui nous revient cette année à 39 € par participant.

Il fut évoqué la possibilité d'organiser une course informelle en partant tous du haut du CECIRE pour arriver en bas des marmottes, on ne noterait que le classement en fonction des arrivées, A VOIR...

Les quelques lots que j'avais conservés de l'an passé des laboratoires Pierre Fabre ont permis avec ceux apportés par Marie Dupré de récompenser tous les concurrents, modeste présent mais il est toujours agréable lorsqu'on participe à une compétition de pouvoir avoir une petite récompense.

Quant à la soirée nous avons essayé un nouveau lieu, original puisqu'il s'agit d'une boîte de nuit, rappelant certains bons souvenirs à quelques-uns d'entre nous, et notamment l'un de nos membres qui gagna il y a quelques décennies un magnifique concours de tango.

Le traiteur était le frère de Roger PICABEA qui avait préparé un menu tapas et des desserts.

Peut-être avais-je omis de préciser que le cocktail était dînatoire car il y a eu ainsi quelques restes.

 Peut-être aussi avez-vous regretté l'absence de chauffage ou de musique ainsi qu'une assemblée générale assez difficile à organiser.

L'an prochain l'on pourrait  demander une salle rien que pour l'assemblée pour ensuite faire la soirée dans un autre lieu. Toutes les idées sont bonnes à prendre, je suis à votre écoute.

A la fin de la semaine prochaine les vacances de notre région vont commencer nous allons remplacer les bordelais, quelques-uns d'entre nous partent dans les Alpes, d'autres restent fidèles à SUPERBAGNERES, je leur souhaite à tous d'excellentes vacances, un bon ski et surtout d'être vigilant compte tenu de la particularité de quelques skieurs de couper les pistes latéralement ou même de remonter vers vous ,ce qui peut occasionner des accidents et des blessures.

A ce propos joint à cet envoi un article sur les casques paru dans la presse.

Bien amicalement à tous Robert

Robert RIVES

 le 24 février 2014

Les ventes de casques de ski décollent en France

Depuis 2011, plus de 95 % des enfants français portent un casque au ski. Vingt ans plus tôt, ils n'étaient que 15 %. Cet équipement est désormais obligatoire - ou très fortement recommandé - dans tous les cours de skis pour les plus jeunes (que ce soit dans les écoles de ski françaises ou internationales). Mais les adultes ne semblent pas avoir pris pour eux-mêmes le réflexe qu'ils ont désormais pour leurs enfants : ils ne sont qu'un gros tiers à se protéger la tête.

L'accident fin décembre de Michael Schumacher (qui portait lui-même un casque) semble néanmoins avoir frappé les esprits. Depuis, les ventes de casques se seraient envolées : les fabricants Bollé et Cébé annoncent déjà une progression de 30 % en volume, selon Le Parisien.

Les skieurs anglo-saxons qui viennent skier en France casqués depuis plusieurs années avaient déjà contribué à faire évoluer les mentalités. Mais, en matière de sécurité, les Français ont souvent la tête dure… Les moniteurs de ski français sont par exemple encore très réticents à montrer l'exemple.

Pourtant, les progrès technologiques rendent aujourd'hui les casques légers et confortables. Ils ne tiennent plus aussi chaud qu'avant et ne gênent plus l'audition. Leur efficacité est quant à elle démontrée : ils diminuent de moitié le risque de traumatisme crânien en cas de chute ou de collision. T.V.

Ski : le port du casque ne doit pas empêcher la prudence

Malgré une hausse du nombre de skieurs casqués aux États-Unis, les accidents graves ont continué d'augmenter ces dernières années. 

Les casques créeraient un « sentiment illusoire de sécurité, voire d'invincibilité » pour les plus jeunes.

ACCIDENTOLOGIE Les casques de ski, bien que de plus en plus courants sur les pistes, ne réduisent pas la fréquence et la gravité des accidents recensés en Amérique du Nord, bien au contraire. Une étude publiée par la National Ski Areas Association vient tordre le cou à cette idée reçue : 67 % des usagers porteraient désormais un casque, soit une hausse du simple au triple depuis 2003. Et pourtant, en l'espace de six ans le nombre d'accidents graves (décès et lésions au cerveau) a crû de 60 % outre-Atlantique, passant de 9308 en 2004 à 14 947 en 2010, selon une autre étude rendue publique en 2012 par l'école de médecine de l'université de Western Michigan.

Ces casques créeraient un « sentiment illusoire de sécurité, voire d'invincibilité », pour les plus jeunes, skieurs et snowboarders, générant par ricochet une propension à prendre plus de risques, selon le médecin du sport Jason DeLuigi.« L'idée est que si je tombe, ce n'est pas grave, car rien ne va m'arriver, puisque je suis casqué », ajoute celui-ci. Or la vélocité et la gravité des chutes suivent bien une courbe parallèle.

Cette tendance, encouragée par la pratique du ski extrême ou les publicités pour des boissons énergétiques figurant des acrobaties spectaculaires, concernerait tout autant les skieurs patentés que les débutants téméraires. « Le dépassement de soi n'est plus une exception, mais bel et bien un dénominateur commun », relève Nina Winans, un autre médecin du sport en Californie, qui constate un désir croissant de skier plus vite, sauter plus haut et s'aventurer plus loin en hors-piste. La hausse de ces accidents entre 1996 et 2010 est de 250 % chez les mineurs, selon une étude de l'université de Washington publiée en mars 2013, et dont le comportement pose le plus de problèmes.

« Une culture de la prise de risque maximale » 

« Le matériel dont nous disposons, explique un professionnel de la montagne, Chris Davenport, dans le New York Times, nous incite à faire des choses que nous ne pouvions vraiment pas réaliser auparavant, et la tendance générale à repousser ses limites a dépassé la capacité de self-control. » « Nous avons créé une culture de la prise de risque maximale, qui est en permanence alimentée par toutes ces réclames et modifie nos comportements à tous », renchérit Roy Gaffney, un psychiatre du sport.

Un casque de ski reste cependant très utile, note le docteur DeLuigi, qui accompagnera l'équipe paralympique américaine en partance aux JO de Sotchi (Russie) le mois prochain, dans la mesure où « il prémunit largement con­tre les commotions cérébrales, coupures profondes et lacérations de la peau, ainsi que les fractures du crâne », dont le nombre aurait chuté de 30 à 50 % en une décennie. Mais pas les lésions graves entraînées par les chutes violentes en terrain escarpé ou non damé.

 

 



04/03/2014
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