ASLS INFOS N° 289
A.S.L.S
Association des Skieurs de Luchon Superbagnères
INFOS NUMERO 289
Chers amis,
Les vacances scolaires ont démarré, mais pour le moment c’est la zone Bretagne Loire-Atlantique pour l’essentiel, ce n’est pas encore la grande foule des bordelais et toulousains.
Il est toujours agréable de skier en semaine, c’est plus délicat le week-end.
Nous avons la satisfaction d’avoir toujours plus de neige qu’en Chine où se déroulent les jeux olympiques.
Malgré l’absence de chutes de neige récentes, il faut reconnaître que les pistes sont bien damées, mais que nous avons en début d’après-midi une neige de printemps occasionnée par un soleil persistant depuis de nombreuses semaines, mais de manière générale le manteau neigeux résiste.
Il est vrai qu’actuellement nous souhaiterions quelques chutes de neige permettant notamment d’utiliser les noires qui ont bien besoin de souplesse, mais comment se plaindre alors que nous avons eu en janvier un vrai hiver et que toutes les pistes sont ouvertes depuis début décembre.
Pas de cailloux sur les pistes, un damage assez fin, une largeur maximale des pistes grâce aux chutes de neige importante de début de saison et l’utilisation des canons à neige lorsque la température le permettait.
Le point noir c’est toujours le téléporté le week-end et probablement en semaine lors des vacances de Toulouse. Toutefois nous avons pu constater que samedi dernier, l’attente ne se faisait plus à la billetterie, car les skieurs avaient acheté leur forfait la veille, mais bien au téléporté.
Nous attendons avec impatience le démontage de cet engin obsolète.
Le 2e point noir est toujours le télésiège des Crabioulles qu’il faudra à terme remplacer par un débrayable aussi efficace que le Céciré express.
Dans Luchon c’est le festival du film TV qui anime la ville.
Peut-être que certains seront étonnés par l’absence de critique, comme j’ai pu le faire à l’occasion les années passées, mais il faut bien reconnaître que de manière générale la station est bien gérée.
À la limite les critiques que l’on pourrait faire concernerait les skieurs eux-mêmes, certains totalement inconscients qui descendent le mur des Allemands à fond la caisse risquant à tout moment de percuter un skieur ou ceux qui zigzaguent d’un bord à l’autre de la piste, souvent en groupe empêchant tout dépassement.
Nous savons qu’en février il faut prendre son mal en patience en attendant les jours calmes de mars.
Voilà pour cette semaine, après bientôt.
Amitiés à tous.
Robert RIVES.
Le 9 février 2022